Vol

Un jour je n'avais plus un sou. J'ai alors tenté le dangereux :
le vol !
J'avais 9 ans. J'avais caché le cd sous mon t-shirt. Mais comme le magasin était équipé de caméras de surveillance, je ne pouvais pas enlever le code-barre.
À la sortie j'ai alors croisé les bras et caché le plus possible le code-barre. Râté !
Ca s'est mis à sonner de plus en plus fort et je n'ai pas pu m'échapper a cause des agents de sécurité devant moi :
j'étais prise au piége !

Résultat : tout les gens m'ont regardé en disant :
-Quelle honte!
-Mal élevée!
-Sale voleuse!
-Hou la voleuse!
-Parfois ça fait peur!
-Elle ne fera rien dans la vie!
On m'a alors proposé : soit de payer soit de poser.
J'ai dû poser.


Histoire envoyée le 26/09/2011 à 12h14 - Notée 2.52 / 5

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Les commentaires

Par [visiteur] le 17/06/2007 à 16h32

avais-tu besoin d'un CD, si sans le sous tu n'avais pas le moyen financier d'acheter le lecteur ? ton acte est ? je te laisse seule responsable face à tes motivations et je souhaite de ne pas te rencontrer.

Par [visiteur] le 17/06/2007 à 16h32

du moment que ca c'est bien terminé!

Par [visiteur] le 31/10/2007 à 19h25

La réaction des gens.... T'as envie de leur mettre une patate... Par contre quand c'est leur gosse qui vole, ils ne disent rien...

Par [visiteur] le 15/03/2008 à 00h31

Pour l'auteur du 1er commentaire
Arrête de juger. Elle n'avait que 9 ans.

Par [visiteur] le 26/11/2008 à 13h59

Srx arrêter de juger (pour le premier com) ce site est faite pour rigoler et passer un bon moment, pas pour juger les gens =)

Par [visiteur] le 22/07/2009 à 20h40

tkt voler c pas un grand crime ten que tu en tire la leçon et que tu recommence pa
perso jme sui jamai fai seré mé kan la popo ta a l'oeil tu réfléchie et taréte sa été ma leçon a moi rigolo kan mm les gens surtou mdr peace

Par [visiteur] le 01/09/2009 à 13h26

maintenant c plus simple suffit de telecharger vive la technologie

Par [visiteur] le 29/08/2009 à 12h19

faut pas non plus en faire tout un drame , tu n'a pas comis de meurtre hein !

Par [visiteur] le 14/11/2009 à 13h46

tout mon enfance g voler sen me faire séré tou et nimporte koi.maintenan g grandi et apri ke sa ne valer pas le coup sauf kan té extrememen dan la merde et ke ta pa le choix
ske ta fai c pa dramatik..apré la réaction des gens est nul .

Par [visiteur] le 07/01/2010 à 13h19

mdr les gens c'est vraiment des k-sos "je souhaite ne jamais te croisé ...." nan ms c'est bon pisse pas plus haut que ton cul copin !!! tu te prend pour qui pour faire la moral a sa m'énérve les gens qui se prenne au sérieu il avait neuf ans c'est bon il a tuer personne alors arété de faire vos sainte ni touche va !!!

Par [visiteur] le 11/08/2010 à 12h10

com 3 : +1

Par [visiteur] le 27/12/2010 à 17h43

Vers l'âge de 17 ans, j'avais un très bon camarade de classe avec qui je faisais mes devoirs, mes exposés... On s'entraidaient tous les deux... Mais voilà : ce garçon aimait prendre des risques, parfois inutiles et dangereux. Il disait que le vie ne vaut rien et qu'il vaut mieux la risquer...
Ce n'était pas mon opinion, mais nous étions quand-même amis...
Un jour, on était allé dans un hypermarché pour acheter des founritures scolaires. Une fois sur place, nos emplettes terminées, il m'a dit qu'il allait essayer de voler dans les rayons un 45 T en le dissimulant dans un 33 T (il y avait que des vinyls).
J'ai acepté beaucoup d'actions de chez ce garçon, mais là, j'ai trouvé qu'il allait trop loin. Je l'en ai dissuadé, j'ai même proposé de lui payer le 45 T (ce n'était pas l'argent qui l'arrêtait, ses parents étaient plein aux as). Non, il a voulut tenter quelque chose, voir ce que ça fait de voler... et de ne pas être pris, surtout.
Il n'y avait pas, dans les magasins, les bipeurs et autres signaux d'alarme. L'opération, il en était convaincu, était facile. Si je savais ce qu'il envisageait de faire, je ne serai pas allé avec lui, mais il m'a exposé son plan à l'intérieur du magasin, une fois nos achats achevé.
Que pouvais-je faire ? Le dénoncer ? C'est pas mon genre. J'étais coincé, et bien coincé. J'espérais donc qu'il ne se ferait pas pincer. En plus, c'était lui qui avait le caddie dans lequel se trouvaient nos affaires scolaires communes, mélangées.
Mais voilà qu'à la caisse, une fois réglés les articles visibles, une femme nous demande de la suivre. C'est pour une enquète sur les prix à la consommation. Nous la suivons, mais moi, je commençais déjà à avoir peur.
Mon ami lui présente son chariot de courses et le ticket de caisse, à la demande de la femme. Cette femme vérifie le contenu de notre chariot (cahiers, stylos, etc...) et voilà qu'elle fait sortir du 33 T le 45T qui s'y trouvait.
Où est le prix de cet article sur le ticket ? demande-t-elle. Face à notre absence de réponse, elle nous demande de la suivre sans faire d'histoire.
Nous obéissons, moi j'ai la honte qui me monte au front, mon ami est complètement zen. J'assume, dit-il, ne t'en fais pas. C'est trop drôle.
Pour lui, mais pas pour moi !
On nous fait rentrer dans une pièce et là, on nous sépare : moi je reste avec la dame qui nous a coincé, tandis que mon ami est conduit, dans une autre pièce, au fond de la salle dans laquelle je me trouve.
La dame me dit : c'est grave ce que vous avez fait. Videz vos poches de tout ce qui s'y trouve.
Je n'ai rien fait, lui dis-je. C'est lui qui m'a poussé à voler.
Cela n'a pas d'importance, je vous ai pris en flagrant délit. Videz vos poches ou j'appelle la police.
Encore plus éhonté, je vide mes poches.
Donnez-moi votre veste.
Je la lui donne et elle la fouille dans tous les sens.
Et la bonne femme s'approchant de moi me dit : Y'a plus rien dans vos poches ? Je vais vous fouiller. Attention si je trouve encore quelque chose !
Terrorisé par la peur, paralysé par la honte, je n'ai même pas répondu. Elle vient vers moi et me faisant lever les bras en signe de croix, elle me palpe par dessus mes vêtements.
Arrivé à la ceinture, elle me demande de retirer ma ceinture et d'ouvrir mon pantalon. Ce que je fais en tremblant. Elle passe ses mains par dessus mon jean, tâte un moment mes bourses et finit sa fouille le long de mes jambes. Puis, je me retourne et elle me fouille côté dos, le pantalon toujours ouvert et légèrment descendu sur les fesses.
Bien, on va attendre ma collègue. Rhabillez-vous.
Quelque minutes plus tard, réapparait mon copain (futur ex-copain). La personne qui l'accompagne, une femme aussi dit que tout est OK, qu'il a avoué son forfait et qu'il m'a mis hors de cause, que c'est lui qui a eu cette idée et qu'il m'a forcé à le suivre. Qu'il a fait ça par jeu... et qu'il a payé le 45T.
Les deux femmes nous raccompagnent à la sortie en nous disant que la prochaine fois, elles seront plus sévères !
J'ai su, quelques jours plus tard (est-ce vrai ou non, je ne saurais pas le dire), que mon copain a subi une fouille intégrale, tout nu, et que toutes ses affaires ont été inspectées longuement.
Quoiqu'il en soit, mes sorties avec ce copain se sont faites rares, jusqu'à ne plus avoir lieu du tout. Enfin, j'ai perdu la trace de cette personne, volontairement.
Mes parents n'ont jamais su ce qui m'était arrivé ce jour-là.

Par visiteur [visiteur] le 23/12/2011 à 21h51

Lorsque j'avais 11 ans, ma sœur et moi sommes allés dans un grand centre commercial. On voulait voir ce que ça faisait de voler quelque chose.
Nous nous sommes en premier rendues dans un magasin d'accessoires et nous avons en tout volé une bonne dizaine de choses, en plusieurs allés retours.
Après avoir rangé mon bulletin dans mon sac, j'ai aperçu un écriteau sur la vitrine du magasin d'accessoires qui disait qu'ils n'hésitaient pas à porter plainte en cas de vol.
Je n'étais alors pas renseignée sur le sujet et ignorait que l'on pouvait pouvait porter plainte pour cela.
Ma sœur m'attendait dans le magasin de vêtements et d'accessoires d'en face. Après être passée à la caisse pour acheter un jean, elle prit une paire de boucles d'oreilles et la mit dans sa poche et me demanda de faire pareil. Hésitante, j'en pris une paire et me dirigea avec ma sœur à la sortie du magasin.
C'est alors qu'un agent de sécurité nous rattrapa et nous demanda de le suivre. Il nous emmena dans une petite pièce, comme dans les films, grande comme des toilettes, avec les murs pas peints et la petite ampoule, bref, très glauque.
J'étais terrorisée. Je pleurais, ma sœur essayait même de se tuer en s'étranglant avec son foulard et ils ne voyaient rien.
Ils ont appelé mon père pour venir nous chercher, seulement, il ne répondait pas et ils menaçaient d'appeler la police.
Finalement, mon père est arrivé, bouleversé, car nous ne sommes pas le genre de filles à faire des bêtises et a dû payer les boucles d'oreilles.
J'ai été vraiment traumatisée, je n'arrivai plus à dormir pendant lus d'un an et faisait des cauchemars.
Je ne souhaite cela à personne, ce fut une des pires hontes de ma vie aussi envers mes parents, qui ne m'ont pas disputés, mais étaient réellement déçus.

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